Santé | Sages-femmes : prime, promotions, formation… Que contient l'accord signé ? – Le JSL

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Un protocole d’accord a été signé par le gouvernement et plusieurs syndicats hospitaliers de sages-femmes. Il prévoit notamment une revalorisation salariale de 500 euros net par mois et un allongement de la formation, mais ne fait pas l’unanimité parmi les représentants syndicaux. Un nouvel appel à la mobilisation a été lancé.
« Ce soir, nous nous engageons pour la reconnaissance des sages-femmes et l’attractivité de leur métier (…) Ces avancées majeures, attendues pour les sages-femmes, sont une nouvelle donne pour un métier remarquable, qui doit susciter plus que jamais les vocations », a déclaré lundi sur Twitter le ministre des Solidarités et de la Santé, Olivier Véran
Après plusieurs mois de mobilisation de la profession, plusieurs organisations syndicales (CFDT, Unsa et Force ouvrière), la Fédération hospitalière de France et le gouvernement (Olivier Véran, Adrien Taquet, secrétaire d’Etat en charge de l’enfance et des familles et Amélie de Montchalin, ministre de la transformation et de la fonction publique) ont signé un protocole d’accord.
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Le protocole d’accord prévoit une augmentation salariale de 500 euros net par mois. Une « prime d’exercice médical » de 240 euros net par mois à partir de février et une augmentation net de 78 euros net en moyenne à partir de mars, pour les sages-femmes des hôpitaux publics, sont inclus dans cette revalorisation. A cela s’ajoutent les 183 euros issus du Ségur de la santé et déjà versés depuis fin 2020.
Celles qui appartiennent à la fonction territoriale et exercent en protection maternelle infantile (PMI) bénéficieront également de la revalorisation de la grille salariale de 78 euros net, mais pas de la prime d’exercice médical. A l’inverse, les sages-femmes contractuelles toucheront elles la prime d’exercice médical, mais pas la revalorisation de la grille.
Le gouvernement salue un effort inédit au niveau des salaires, pour un budget global estimé à 100 millions d’euros pour l’État. L’organisation nationale syndicale des sages-femmes (Onssf) regrette quant à elle dans un communiqué une revalorisation salariale « bien inférieure aux préconisations de l’Inspection générale des affaires sociales » de 600 euros net par mois.
L’accord prévoit également des taux de promotions doublés jusqu’en 2024 pour les sages-femmes exerçant à l’hôpital. « Au moment du Ségur de la santé, on était passé de 11% à 22% de promus pour 2021. Dans le cadre de l’accord, on va maintenir ce niveau à 22% en 2022, 2023 et 2024 », précise auprès de 20 minutes le cabinet d’Olivier Véran.
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C’était une revendication de longue date de la profession, qui dénonçait un cursus trop dense au regard de l’ensemble des compétences à apprendre. En 2018, une enquête de l’Association nationale des étudiants sages-femmes (Anesf) indiquait que 41% des étudiants sages-femmes déclaraient que leur santé s’était dégradée ou fortement dégradée au cours de leur formation et que 80% d’entre eux se sentaient plus stressés depuis leur entrée dans la formation.
D’une durée initiale de cinq ans, le cursus durera donc désormais six ans. La promotion qui débutera en 2022 sera la première concernée par cet allongement. 
Des décrets prévus pour lancer la mise en place de douze nouvelles maisons de naissance sont attendus pour fin novembre. D’ici la fin de l’année, des décrets seront également publiés pour permettre, dans le cadre d’une expérimentation, à certaines sages-femmes de réaliser des interruptions volontaires de grossesses dans un hôpital.
L’accord prévoit également des discussions sur un entretien post-natal précoce entre les parents et une sage-femme, afin de revenir sur l’accouchement et d’accompagner au mieux les premiers jours de maternité. L’idée est également de pouvoir mieux détecter une éventuelle dépression post-partum
Une publication partagée par ONSSF (@onssf_syndicat)
L’entourage du ministre de la santé espère que cet accord « marque la fin du mouvement en cours« . Mais le texte ne satisfait pas toutes les organisations syndicales. Dans un communiqué publié lundi, l’Onssf dénonce des propositions qui « restent bien en deça de ce qui est indispensable pour provoquer un choc d’attractivité pour notre profession, et pour fidéliser les sages-femmes dans leurs emplois ». L’organisation appelle à un « nouveau week-end noir les 26-27-28-29 novembre » et ajoute que « si cela ne suffit pas, nous organiserons une semaine noire du 24 au 31 décembre ». 
La CGT et la CFTC, qui avaient également déposé un préavis de grève pour le week-end prochain, ne l’ont pas retiré suite aux annonces.
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